Traitement de l'eau
L’idée de devoir faire attention à l’eau que l’on boit est étrangère à
bien de gens, surtout chez les habitants de métropoles dans les pays
industrialisés. Avec une eau du robinet ou de la douche qui est parfaitement
potable, il nous est difficile d’imaginer qu’il puisse en être autrement en
nature. Alors que nous abusons d’une eau parfaitement propre en la consommant
sans retenue pour multiples raisons, d’autres en manquent pour leur besoin le
plus basique : s’hydrater.
Ceux-ci doivent avoir recours à différentes techniques pour traiter le peu d’eau non-potable auquel ils ont accès pour pouvoir la consommer. De telles techniques sont aussi utilisées lorsque nous partons en excursion dans la nature où l’eau embouteillée se fait rare. Ainsi, nous devons nous hydrater en buvant de l’eau provenant de lacs, de rivières ou de quelconques sources inconnues. Ces nombreuses sources sont classées selon trois catégories, soit les eaux de surface, les eaux souterraines et les eaux de mer ou saumâtres.
LES DANGERS D’UNE EAU NON TRAITÉE
Comme nous l’avons mentionné, boire de l’eau n’ayant subi aucun type de traitement est une dangereuse affaire, car toute eau peut contenir différents agents pathogènes (bactéries, virus, protozoaires), produits chimiques et autres contaminants qui peuvent nous être nocifs. Beaucoup de maladies peuvent être contractées en buvant de l’eau non traitée; ce sont les maladies dites hydriques et elles affectent plus de deux milliards de personnes sur terre chaque année [2].
PRODUITS CHIMIQUES
Beaucoup de produits chimiques nous étant nocifs peuvent aussi se retrouver dans l’eau. Les eaux souterraines, plus en contact avec la roche que les autres types d’eau, sont par exemple plus susceptibles d’être contaminées par des métaux lourds tel le plomb, le cadmium, le mercure et le zinc. Il peut aussi y avoir des déchets radioactifs, des composés chimiques tels le benzène ou des traces de désinfectants dans les eaux non traitées. Tous ces déchets sont toxiques et cancérigènes [4].
AGENTS PATHOGÈNES (Par ordre décroissant de taille)
COMMENT TRAITER L’EAU?
Pour ne pas courir le risque de contracter une quelconque maladie, il faut traiter l’eau que l’on veut boire. Pour ce faire, plusieurs techniques s’offrent à nous, soit les techniques chimiques, par ébullition ou par filtration.
CHIMIQUE
L’EAU DE JAVEL : Une méthode bien efficace de traiter l’eau serait d’y ajouter de l’eau de javel à une concentration maximale de 4 à 5 % en hypochlorite de sodium. Pour un litre d’eau, il est recommandé d’ajouter deux gouttes d’eau de javel à celui-ci et d’attendre 30 minutes avant de le consommer. Cependant, cette quantité devrait être doublée si l’eau en question est très froide, trouble ou si elle émane une odeur anormale [5]. Il est simple de transporter l’eau de javel en la mettant dans une petite bouteille bien scellée et de déposer celle-ci dans un sac de plastique pour prévenir tout déversement.
LE CHLORE : Méthode standard de traitement chimique depuis de nombreuses années. Ce traitement est efficace contre les bactéries et les virus et, contrairement aux filtres, il ne nécessite pas de pompage. Toutefois, le chlore peut aussi détruire beaucoup de micro-organismes naturellement présents dans le tube digestif et qui servent à digérer les aliments. De plus, certains types de protozoaires – y compris les cryptosporidium – sont résistants ou parfois complètement immunisés contre le chlore et les autres produits chimiques. Il peut donc être utilisé en combinaison avec un filtre. Le filtre élimine les protozoaires résistants aux produits chimiques et les produits chimiques détruisent les virus et les bactéries qui passent à travers le filtre.
L’IODE : Tout comme le chlore, l'iode a été utilisé comme méthode standard de traitement chimique depuis de nombreuses années, il est efficace contre les bactéries et les virus et il ne nécessite pas de pompage. Il n’est pas recommandé d’utiliser de l’iode pendant une période de plus de quelques semaines ; les femmes enceintes particulièrement devraient surveiller l’ingestion de cette substance. De plus, certains types de protozoaires – y compris les cryptosporidium – sont résistants ou parfois complètement immunisés contre l’iode et les autres produits chimiques. Il peut donc être utilisé en combinaison avec un filtre. Le filtre élimine les protozoaires résistants aux produits chimiques et les produits chimiques détruisent les virus et les bactéries qui passent à travers le filtre. L’efficacité de l’iode augmente avec la température de l’eau, or si l’eau est très froide, il faut absolument attendre plus longtemps pour que l’iode puisse détruire la totalité des agents pathogènes. Bien que ce traitement chimique est de moins en moins utilisés de nos jours, il peut être utilisé de différentes manières :
ÉBULLITION
Une des méthodes les plus anciennes, efficace, fiable et simples consiste à faire bouillir l’eau insalubre pour la purifier de tous les agents pathogènes (ébullition à 100 degrés Celsius). Il est recommandé de bouillir l’eau pour au moins une minute [8]. Cette méthode de traitement de l’eau n’est cependant pas très populaire auprès des adeptes de grande nature : Elle requiert du temps et du carburant, l’eau tiède n’étanche pas bien la soif et, comme une bonne partie de l’oxygène a été éliminée, l’eau bouillie conserve un goût fade. Par contre, pour la cuisson des aliments, il n'est pas nécessaire de traiter l'eau préalablement puisqu’elle doit être chauffée de toute façon.
FILTRATION
Cette méthode physique consiste à faire passer l’eau à travers un filtre qui emprisonnera les microorganismes pathogènes en suspension pour ainsi purifier l’eau. Les filtres ont l'avantage de clarifier l'eau. Dans certains pays, les filtres rendront l'eau claire, ce qui est davantage "appétissant"! Il est à noter que cette technique permet de filtrer les protozoaires et les bactéries, mais ne parvient pas toujours, selon le type de filtre, à filtrer les virus unicellulaires qui sont trop petits. Même les fabricants des meilleurs filtres indiquent que l'eau devrait être traitée avec une solution chimique par la suite. Les capacités des filtres varies beaucoup d'un à l'autre et les agents pathogènes qui seront bloqués aussi. Il est donc très important de bien choisir son filtre et d’éviter les filtres laissant passer les particules de plus de 0,5 micromètre [9].
Traitement à la lumière et à l’électricité : Depuis quelques années, ont trouve de nouveaux gadgets pour traiter l’eau. Ils agissent avec les rayons ultra-violets ou l’électricité. Toutefois, ces systèmes sont fragiles et demandent du courant électrique, ce qui n’est pas toujours possible sur de longues périodes.
Finalement, d’autres méthodes beaucoup moins abordables existent aussi, mais elles sont surtout utilisées en laboratoires. Celles-ci incluent l’osmose inversé et la déminéralisation par échange d’ions.
Ceux-ci doivent avoir recours à différentes techniques pour traiter le peu d’eau non-potable auquel ils ont accès pour pouvoir la consommer. De telles techniques sont aussi utilisées lorsque nous partons en excursion dans la nature où l’eau embouteillée se fait rare. Ainsi, nous devons nous hydrater en buvant de l’eau provenant de lacs, de rivières ou de quelconques sources inconnues. Ces nombreuses sources sont classées selon trois catégories, soit les eaux de surface, les eaux souterraines et les eaux de mer ou saumâtres.
- LES EAUX DE SURFACE : Les eaux de surface, comme leur nom l’indique, sont des eaux qui se retrouvent au-dessus de la croûte terrestre, à moins de 30 pieds (9m) [1] de profondeur. Océans, lacs, rivières et ruisseaux en sont de bons exemples. Ce type d’eau doit absolument être désinfecté d’une manière ou d’une autre avant toute consommation, car c’est le type d’eau le plus susceptible d’être contaminé. En effet, à cause de l’accessibilité que nous avons à ces eaux, elles sont beaucoup plus susceptibles d’être contaminées par des microorganismes ou souillées par nos déchets.
- LES EAUX SOUTERRAINES : Les eaux souterraines, contrairement aux eaux de surface, se trouvent plus en profondeur dans la croûte terrestre. Ainsi, elles sont moins vulnérables aux contaminations d’origine humaine, ce qui ne veut pas nécessairement dire qu’elles sont sans dangers. Bien au contraire, elles contiennent de grandes quantités de sels et minéraux et peuvent tout aussi bien contenir des micro-organismes, déchets et contaminants. Prudence et traitement sont de mise, tout comme lors de la consommation d’une eau de surface.
- LES EAUX DE MER & EAUX SAUMÂTRES : Ce dernier type d’eau englobe toutes les eaux ayant un haut taux de salinité les rendant non-potables. En effet, pour une personne déshydratée, boire de l’eau salée est la pire chose à faire, car cela ne fera que les déshydrater davantage puisque le corps utilise l’eau pour éliminer l’excès de sel dans leur corps. Il faut donc absolument désaliniser l’eau avant de la boire pour parvenir à s’hydrater.
- Puisque nous ne connaissons pas la composition de ces types d’eau et que nous ne savons pas avec quoi ils sont entrés en contact, des traitements doivent obligatoirement leur être administré pour prévenir la contamination par différents micro-organismes.
LES DANGERS D’UNE EAU NON TRAITÉE
Comme nous l’avons mentionné, boire de l’eau n’ayant subi aucun type de traitement est une dangereuse affaire, car toute eau peut contenir différents agents pathogènes (bactéries, virus, protozoaires), produits chimiques et autres contaminants qui peuvent nous être nocifs. Beaucoup de maladies peuvent être contractées en buvant de l’eau non traitée; ce sont les maladies dites hydriques et elles affectent plus de deux milliards de personnes sur terre chaque année [2].
PRODUITS CHIMIQUES
Beaucoup de produits chimiques nous étant nocifs peuvent aussi se retrouver dans l’eau. Les eaux souterraines, plus en contact avec la roche que les autres types d’eau, sont par exemple plus susceptibles d’être contaminées par des métaux lourds tel le plomb, le cadmium, le mercure et le zinc. Il peut aussi y avoir des déchets radioactifs, des composés chimiques tels le benzène ou des traces de désinfectants dans les eaux non traitées. Tous ces déchets sont toxiques et cancérigènes [4].
AGENTS PATHOGÈNES (Par ordre décroissant de taille)
- LES PROTOZOAIRES : Ces parasites sont des organismes vivants qui se lient à un hôte pour profiter de celui-ci en se nourrissant et en se reproduisant au détriment de l’hôte qu’ils occupent. Certains parasites, incluant le Giardia (protozoaire causant la giardiase, aussi appelée la «lambliase»), l’Entamoeba histolytica et le Cryptosporidium, peuvent être contractés en buvant de l’eau insalubre. Les protozoaires constituent un problème croissant en Amérique du Nord. Les périodes d’incubation de ces parasites peuvent être de quelques semaines et leurs symptômes incluent les vomissements, la diarrhée, la déshydratation, la perte de poids et les maux de ventre. Bien que ces parasites soient le plus souvent ingérés et s’attaquent au système digestif, ils peuvent occasionnellement se loger autre part et infecter d’autres organes. Ces parasites, bien que très pénibles, ne sont que rarement dangereux, sauf pour les immunodéprimés ou chez ceux n’ayant pas accès à des facilités de santé. Ils sont, pour la plupart, éliminés après un mois, sans médicaments, mais des antiparasitaires peuvent sinon être utilisés. Tous les protozoaires sont plus grands qu’un micron (un micron correspond à un millionième de mètre).
- LES BACTÉRIES : Les eaux non traitées regorgent de bactéries, la plus courante d’entre elles étant sans doute l’E. Coli. Elle s’attaque surtout aux intestins, entraînant une infection qui se fait connaître par ses symptômes de crampes abdominales et de diarrhées sanguinolentes. L’E. Coli peut même entraîner une défaillance rénale dans 15% des cas [3]. D’autres bactéries peuvent entraîner d’autres maladies telles la salmonelle, la leptospirose et plusieurs autres qui peuvent être bien plus graves que L’E. Coli. présentes dans l’eau partout dans le monde. La plupart ne sont pas nocives pour la santé, mais certaines peuvent causer des maladies telles que la diarrhée et la dysenterie. La plupart des bactéries mesurent environ 0,5 micron. Par contre, certaines, comme le campylobacter pathogène, mesurent 0,3 micron ou moins.
-
LES VIRUS :
Le comportement des virus est comparable à celui des parasites qui
profitent de l’hôte qu’ils occupent mais, contrairement aux parasites, les
virus sont unicellulaires et ne sont pas considérés comme entièrement
vivants. Les virus sont spécifiques à chaque espèce, les humains ne peuvent donc attraper un virus que lorsqu’ils sont en contact avec d’autres humains ou avec leurs déchets. Les virus se trouvent, pour la plupart, dans les pays en voie de développement, mais ils peuvent également représenter un problème partout où l’eau à consommer entre en contact avec des eaux usées brutes, incluant les virus des hépatites A et E, ainsi que la poliomyélite. Ces
infections affectent le foie et ont comme conséquences l’ictère (la jaunisse),
la fatigue et la nausée. Ces infections sont aigües, mais elles peuvent devenir
chroniques chez les immunodéprimés. Les virus sont des centaines de fois plus petits que les bactéries.
COMMENT TRAITER L’EAU?
Pour ne pas courir le risque de contracter une quelconque maladie, il faut traiter l’eau que l’on veut boire. Pour ce faire, plusieurs techniques s’offrent à nous, soit les techniques chimiques, par ébullition ou par filtration.
CHIMIQUE
L’EAU DE JAVEL : Une méthode bien efficace de traiter l’eau serait d’y ajouter de l’eau de javel à une concentration maximale de 4 à 5 % en hypochlorite de sodium. Pour un litre d’eau, il est recommandé d’ajouter deux gouttes d’eau de javel à celui-ci et d’attendre 30 minutes avant de le consommer. Cependant, cette quantité devrait être doublée si l’eau en question est très froide, trouble ou si elle émane une odeur anormale [5]. Il est simple de transporter l’eau de javel en la mettant dans une petite bouteille bien scellée et de déposer celle-ci dans un sac de plastique pour prévenir tout déversement.
LE CHLORE : Méthode standard de traitement chimique depuis de nombreuses années. Ce traitement est efficace contre les bactéries et les virus et, contrairement aux filtres, il ne nécessite pas de pompage. Toutefois, le chlore peut aussi détruire beaucoup de micro-organismes naturellement présents dans le tube digestif et qui servent à digérer les aliments. De plus, certains types de protozoaires – y compris les cryptosporidium – sont résistants ou parfois complètement immunisés contre le chlore et les autres produits chimiques. Il peut donc être utilisé en combinaison avec un filtre. Le filtre élimine les protozoaires résistants aux produits chimiques et les produits chimiques détruisent les virus et les bactéries qui passent à travers le filtre.
L’IODE : Tout comme le chlore, l'iode a été utilisé comme méthode standard de traitement chimique depuis de nombreuses années, il est efficace contre les bactéries et les virus et il ne nécessite pas de pompage. Il n’est pas recommandé d’utiliser de l’iode pendant une période de plus de quelques semaines ; les femmes enceintes particulièrement devraient surveiller l’ingestion de cette substance. De plus, certains types de protozoaires – y compris les cryptosporidium – sont résistants ou parfois complètement immunisés contre l’iode et les autres produits chimiques. Il peut donc être utilisé en combinaison avec un filtre. Le filtre élimine les protozoaires résistants aux produits chimiques et les produits chimiques détruisent les virus et les bactéries qui passent à travers le filtre. L’efficacité de l’iode augmente avec la température de l’eau, or si l’eau est très froide, il faut absolument attendre plus longtemps pour que l’iode puisse détruire la totalité des agents pathogènes. Bien que ce traitement chimique est de moins en moins utilisés de nos jours, il peut être utilisé de différentes manières :
- La Teinture d’iode : La teinture d’iode est la forme liquide de l’iode. Seules six gouttes d’iode suffisent pour désinfecter un litre d’eau claire (attendre au moins 30 minutes). Pour une eau froide, il est recommandé d’ajouter 4 gouttes de plus pour une efficacité optimale.
- Les comprimés d’iode : Cette méthode, très simple, consiste à ajouter à un litre d’eau un comprimé d’iode et de le laisser agir pour 15 minutes avant la consommation de l’eau. Dans le cas d’une eau trouble ou froide, il est recommandé d’ajouter un second comprimé et d’attendre plus longtemps.
- Les cristaux d’iode : Ce dernier type de traitement à l’iode requiert un peu plus de préparation. En effet, dans ce cas-ci, il faut préparer une solution d’iode à partir des cristaux. Pour se faire, on place, dans une bouteille en verre, 4 à 8 g de cristaux d’iode puis on y ajouter 30 mL d’eau et on mélange le tout pour obtenir une solution saturée. Il faut ensuite attendre que les cristaux se déposent au fond de la bouteille. Nous pouvons ensuite prélever 15 ml de la solution d’iode et l’ajouter à un litre d’eau à traiter. 15 à 20 minutes doivent être allouées à la solution d’iode pour qu’elle désinfecte adéquatement l’eau. Si l’eau est toujours trouble après ce traitement, il faut ajouter un autre 5 mL et attendre à nouveau. L’efficacité de cette technique est maximale lorsque l’eau est gardée à la température du corps [7].
ÉBULLITION
Une des méthodes les plus anciennes, efficace, fiable et simples consiste à faire bouillir l’eau insalubre pour la purifier de tous les agents pathogènes (ébullition à 100 degrés Celsius). Il est recommandé de bouillir l’eau pour au moins une minute [8]. Cette méthode de traitement de l’eau n’est cependant pas très populaire auprès des adeptes de grande nature : Elle requiert du temps et du carburant, l’eau tiède n’étanche pas bien la soif et, comme une bonne partie de l’oxygène a été éliminée, l’eau bouillie conserve un goût fade. Par contre, pour la cuisson des aliments, il n'est pas nécessaire de traiter l'eau préalablement puisqu’elle doit être chauffée de toute façon.
FILTRATION
Cette méthode physique consiste à faire passer l’eau à travers un filtre qui emprisonnera les microorganismes pathogènes en suspension pour ainsi purifier l’eau. Les filtres ont l'avantage de clarifier l'eau. Dans certains pays, les filtres rendront l'eau claire, ce qui est davantage "appétissant"! Il est à noter que cette technique permet de filtrer les protozoaires et les bactéries, mais ne parvient pas toujours, selon le type de filtre, à filtrer les virus unicellulaires qui sont trop petits. Même les fabricants des meilleurs filtres indiquent que l'eau devrait être traitée avec une solution chimique par la suite. Les capacités des filtres varies beaucoup d'un à l'autre et les agents pathogènes qui seront bloqués aussi. Il est donc très important de bien choisir son filtre et d’éviter les filtres laissant passer les particules de plus de 0,5 micromètre [9].
Traitement à la lumière et à l’électricité : Depuis quelques années, ont trouve de nouveaux gadgets pour traiter l’eau. Ils agissent avec les rayons ultra-violets ou l’électricité. Toutefois, ces systèmes sont fragiles et demandent du courant électrique, ce qui n’est pas toujours possible sur de longues périodes.
Finalement, d’autres méthodes beaucoup moins abordables existent aussi, mais elles sont surtout utilisées en laboratoires. Celles-ci incluent l’osmose inversé et la déminéralisation par échange d’ions.
TABLEAU 1 (Au-dessus)
Efficacité des différents traitements de l'eau
http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/outdoor-plein_air-fra.php
Légende
E : Efficace
M : Peut être efficace
N : Non efficace
Efficacité des différents traitements de l'eau
http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/outdoor-plein_air-fra.php
Légende
E : Efficace
M : Peut être efficace
N : Non efficace
TABLEAU 2 (Au-dessus)
Récapitulatif des traitements
Récapitulatif des traitements
Ressources
[1] http://www.chateaudeau.ca/votre-eau/surface/
[2] http://www.vedura.fr/environnement/eau/maladies-liees-a-eau
[3] http://www.monclimatmasante.qc.ca/maladies-hydriques.aspx
[4] http://water.epa.gov/drink/contaminants/
[5] http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/outdoor-plein_air-fra.php
[6] Idem
[7] Idem
[8] Idem
[9] Idem
RÉFÉRENCES/POUR PLUS D’INFORMATIONS
SITES GÉNÉRAUX SUR L’EAU ET SA PROPRETÉ
http://www.who.int/water_sanitation_health/dwq/gdwq3rev/fr/
http://www.chateaudeau.ca/votre-eau/surface/
LES DIFFÉRENTS TYPES D’EAU
http://www2.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s3/eaux.souterraines.html
http://www.dictionnaire-environnement.com/eau_de_surface_ID1363.html
http://2apv.chez.com/026-eausaumatre01.htm
LES DANGERS DE L’EAU INSALUBRE
http://www.vedura.fr/environnement/eau/maladies-liees-a-eau
http://water.epa.gov/drink/contaminants/
http://www.monclimatmasante.qc.ca/maladies-hydriques.aspx
http://www.lenntech.fr/metaux-lourds.htm
LES DIFFÉRENTS TRAITEMENTS DE L’EAU
http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/outdoor-plein_air-fra.php
http://www.high-altitude-medicine.com/water.html#chemical
http://www.mec.ca/AST/contentprimary/learn/hikingandcamping/foodandwater/choosingawatertreatmentsystem.jsp?bmLocale=fr_CA&bmForm=setLanguageCookie&bmFormID=k4EqR_B&bmSubmit=SetLanguageCookie
Recherche faite par :
Ioana Maria RAUS, Vanessa TRUONG
Étudiantes au Collège Jean-de-Brébeuf